PETIT MODE D'EMPLOI

Pour ouvrir une année, un mois, un message, cliquez avec la gauche de votre souris. La fleche qui est à gauche du truc à ouvrir bascule vers le bas.
Pour agrandir certaines images il suffit parfois de cliquer dessus. Faut pas hésiter a les secouer !
Si vous laissez un commentaire pourquoi ne pas laisser une signature : pseudo, prénom, photo, avatar, etc... Merci.
Fites connaitre votre blog ; donnez l'adresse aux copains et copines.
A bientot. Revenez souvent. Daniel et Roxane.

dimanche 18 octobre 2009

Roxane 4

La petite dame en blanc nous a dis de la suivre dans une autre salle avec plein de flacons et de petites boites. Il y avait aussi une grande table qui montait ou descendait toute seule. Ce n’était pas rassurant. Il m’a mis dessus et caressé comme j’aime bien, sous le menton et dessus la tête. La dame, deux tuyaux dans les oreilles, répétait bien, bien. En même temps elle me plaquait une espèce de pièce de monnaie partout sur le corps. J’ai vaguement senti une petite piqure dans la cuisse. Ca tournait.


Je me suis réveillée toute vaseuse. J’étais allongée sur un coussin tout blanc, épais et doux. C’était une grande cage. Si j’avais pu me lever j’aurais eu la place. De toutes façons je n’aurais pas pu sortir. La porte était faite de barreaux.

J’avais l’impression d’avoir un gros machin visqueux dans la bouche. Et pas moyen ni de l’avaler, ni de le rejeter. C’était désagréable ! En plus un morceau de tissu était collé sous mon ventre. Ca grattait. C’était irritant ce machin !

La dame blanche est venue me voir. Elle me palpa doucement, me plaqua encore ses tuyaux dessus. Elle sourit en disant que tout allait bien. Qu’est-ce qui lui fallait ! Mais étrangement, ça m’avais calmée. Je me rendormi.

Et puis je les ais entendu parler, doucement. Elle disait que tout s’était bien passé. Elle avait aussi trouvé une boule de graisse, alors elle l’avait enlevé. La, dans mon brouillard, je me suis énervée. Je n’étais pas grosse au point de me faire une liposuccion ! J’étais tout de même rudement contente de le revoir. Il m’a caressée doucement. C’était bon…

Nous sommes rentrés chez nous, doucement, à pieds. Un peu d’air me ferait du bien. Mes pattes n’étaient pas très vaillantes. Mais peu à peu elles se fortifiaient. Le chemin m’était familier. Nous n’étions pas loin. Le patron n’avait jamais marché aussi lentement. Tout les deux pas il me regardait. Il devait regretter ou avoir peur de quelque chose. Pourtant la dame blanche lui avait dit : Comme ça vous serez tranquille.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Membres