La petite dame en blanc nous a dis de la suivre dans une autre salle avec plein de flacons et de petites boites. Il y avait aussi une grande table qui montait ou descendait toute seule. Ce n’était pas rassurant. Il m’a mis dessus et caressé comme j’aime bien, sous le menton et dessus la tête. La dame, deux tuyaux dans les oreilles, répétait bien, bien. En même temps elle me plaquait une espèce de pièce de monnaie partout sur le corps. J’ai vaguement senti une petite piqure dans la cuisse. Ca tournait.
Je me suis réveillée toute vaseuse. J’étais allongée sur un coussin tout blanc, épais et doux. C’était une grande cage. Si j’avais pu me lever j’aurais eu la place. De toutes façons je n’aurais pas pu sortir. La porte était faite de barreaux.
J’avais l’impression d’avoir un gros machin visqueux dans la bouche. Et pas moyen ni de l’avaler, ni de le rejeter. C’était désagréable ! En plus un morceau de tissu était collé sous mon ventre. Ca grattait. C’était irritant ce machin !
La dame blanche est venue me voir. Elle me palpa doucement, me plaqua encore ses tuyaux dessus. Elle sourit en disant que tout allait bien. Qu’est-ce qui lui fallait ! Mais étrangement, ça m’avais calmée. Je me rendormi.
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