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lundi 28 septembre 2009
dimanche 27 septembre 2009
samedi 26 septembre 2009
mercredi 23 septembre 2009
C'était il y a cinq ans
C'était une belle journée ensoleillée. La porte était grande ouverte. Il y avait deux dames à une table. L'une d'elle grondait toujours l'autre qui semblait sans cesse faire ou dire des bêtises. Elle semblait pourtant vouloir faire de son mieux la pôvre.
J'étais près de mon assiette, à côté d'un pieds de table. J'étais là depuis quelques jours. On m'avait reçue avec beaucoup d'égards. De l'eau, des gâteaux m'avait été fournis abondement. Un autre chien plus vieux était attaché. Il grognait sans cesse et aboyait dès que la porte s'entrebâillait. Les deux dames n'étaient pas toujours contentes.
Quelque chose avait changé pendant ma somnolence. C'est ça. J'étais à l'ombre. Il était là, dans l'encadrement de la porte. Après avoir levé les yeux, je du lever la tête. Il me paraissait immense. J'avais encore jamais vu des jambes d'hommes en short. Elles me semblaient sans fin. C'est surprenant vu d'en bas ! Mais ce qui m'avait frappé, c'est son petit chapeau marron tout rond. Je me suis longtemps demandé pourquoi il avait toujours ce truc sur la tête. Et puis un jour, bien plus tard, je l'ai entendu dire qu'il craignait le soleil d'été et le froid d'hiver à cause d'un rond de cheveu vide. Heu, de crane sans cheveux. Oui c'est ça. Enfin bref. Il s'est baissé vers moi, souriant. Mais je le sentais inquiet. Je le trouvais sympa ; mais qu'est ce qu'il voulait ? Sa main est venue doucement sous ma truffe, de plus en plus près. Elle tremblait. On aurait dit qu'elle était émue. Il y avait une bonne odeur. Je sais pas pourquoi, je l'ai léché. La main se tournait, me montrait toutes se faces. Bien, ça lui plaisait. Elle se glissa dans mon coup souplement. Hé hé agréable ça. Je fus obligée de lever la tête. Et je vis la sienne. C'était un mélange de joie et d'inquiétude. Après quelques mots avec les dames qui semblaient réticentes, il accrocha une petite laisse verte au collier vert écossais que j'avais. Ca allait bien ensemble. Il a tiré doucement. Sur le moment je n'ai pas compris. Finalement j'ais cédé. J'aimais bien mes deux dames. Mais après tout, il paraissait bien ce grand machin. Nous nous sommes mis a marcher cote à cote. C'était bizarre, on aurait dit qu'il avait peur. Je sais pas de quoi. Moi je craignais qu'il m'emmène quelque part pour me faire quelque chose. Je savais pas quoi. Finalement après 20 mn de marche le long d'un gros ruisseau bruyant, nous sommes arrivés dans une sorte de salle d'attente garnie de gros sacs, de boites, de laisses de toutes grosseurs. Une dame jeune et souriante lui a demandé ce qu'il voulait. Il fut question de papiers, vaccins, opérations, Ca avait fini par me donner le tournis, je m'étais endormie. Puis nous avons été chez lui. C'est toujours chez nous depuis 5 ans. Roxane
J'étais près de mon assiette, à côté d'un pieds de table. J'étais là depuis quelques jours. On m'avait reçue avec beaucoup d'égards. De l'eau, des gâteaux m'avait été fournis abondement. Un autre chien plus vieux était attaché. Il grognait sans cesse et aboyait dès que la porte s'entrebâillait. Les deux dames n'étaient pas toujours contentes.
Quelque chose avait changé pendant ma somnolence. C'est ça. J'étais à l'ombre. Il était là, dans l'encadrement de la porte. Après avoir levé les yeux, je du lever la tête. Il me paraissait immense. J'avais encore jamais vu des jambes d'hommes en short. Elles me semblaient sans fin. C'est surprenant vu d'en bas ! Mais ce qui m'avait frappé, c'est son petit chapeau marron tout rond. Je me suis longtemps demandé pourquoi il avait toujours ce truc sur la tête. Et puis un jour, bien plus tard, je l'ai entendu dire qu'il craignait le soleil d'été et le froid d'hiver à cause d'un rond de cheveu vide. Heu, de crane sans cheveux. Oui c'est ça. Enfin bref. Il s'est baissé vers moi, souriant. Mais je le sentais inquiet. Je le trouvais sympa ; mais qu'est ce qu'il voulait ? Sa main est venue doucement sous ma truffe, de plus en plus près. Elle tremblait. On aurait dit qu'elle était émue. Il y avait une bonne odeur. Je sais pas pourquoi, je l'ai léché. La main se tournait, me montrait toutes se faces. Bien, ça lui plaisait. Elle se glissa dans mon coup souplement. Hé hé agréable ça. Je fus obligée de lever la tête. Et je vis la sienne. C'était un mélange de joie et d'inquiétude. Après quelques mots avec les dames qui semblaient réticentes, il accrocha une petite laisse verte au collier vert écossais que j'avais. Ca allait bien ensemble. Il a tiré doucement. Sur le moment je n'ai pas compris. Finalement j'ais cédé. J'aimais bien mes deux dames. Mais après tout, il paraissait bien ce grand machin. Nous nous sommes mis a marcher cote à cote. C'était bizarre, on aurait dit qu'il avait peur. Je sais pas de quoi. Moi je craignais qu'il m'emmène quelque part pour me faire quelque chose. Je savais pas quoi. Finalement après 20 mn de marche le long d'un gros ruisseau bruyant, nous sommes arrivés dans une sorte de salle d'attente garnie de gros sacs, de boites, de laisses de toutes grosseurs. Une dame jeune et souriante lui a demandé ce qu'il voulait. Il fut question de papiers, vaccins, opérations, Ca avait fini par me donner le tournis, je m'étais endormie. Puis nous avons été chez lui. C'est toujours chez nous depuis 5 ans. Roxane
mardi 22 septembre 2009
Suite de ma frangine
Ca j'y crois pas ! Sa belle-fille vient d'accoucher. Elle devrait être contente, heureuse et sauter de joie ! Ben non ! Des fois que Mamie déborde de grippe A elle ne peut pas entrer dans la maternité ! Et la voilà a genoux, contre la porte. Enfin le petiot se porte bien. Oui c'est un gars de 50cm et 3k10g. Ils ont de ces précisons maintenant. Le poids des nouveaux nés évolue à la vitesse grand V, mais on note quand même 10 g qui passent par là.
Y a un truc qui me turlupine. C'est le prénom. Mon neveu a parfois des idées tordues. Mais au téléphone j'ais compris Méandre. Pfff. Pour mette le pieds sur terre c'est pas simple bien sur. Mais tout de même. Ma frangine prépare quelque chose pour le début d'octobre. C'est peut-être ça qui l'a fait bouffailler. Heu, bafouiller.
Oui, c'est ça. Le téléphone vient de vibrer énergiquement. C'est un autre. Il n'est pas courant, mais très beau. Avec les racines de ce prénom, il ne va pas falloir chercher des noises au petit ! Bonne vie mon grand. Quand ce sera dans tes cordes n'oublie pas ta Mamie.
Y a un truc qui me turlupine. C'est le prénom. Mon neveu a parfois des idées tordues. Mais au téléphone j'ais compris Méandre. Pfff. Pour mette le pieds sur terre c'est pas simple bien sur. Mais tout de même. Ma frangine prépare quelque chose pour le début d'octobre. C'est peut-être ça qui l'a fait bouffailler. Heu, bafouiller.
Oui, c'est ça. Le téléphone vient de vibrer énergiquement. C'est un autre. Il n'est pas courant, mais très beau. Avec les racines de ce prénom, il ne va pas falloir chercher des noises au petit ! Bonne vie mon grand. Quand ce sera dans tes cordes n'oublie pas ta Mamie.
dimanche 20 septembre 2009
Ha les femmes !
Je n'y pige rieeeeenn ! Une de mes frangines qui a trois enfants est sur les dents, prêt de la crise de nerfs. Son fils, heu sa belle-fille, va accoucher un de ces jours. Attention elle aussi ce n'est pas son premier bambin. Hé puis même si c'était, maintenant ces dames savent tout en sortant de la maternelle. Enfin, d'habitude elle me fait des mails, m'envoie des photos. Là ceinture. Madame a perdu les kilos que sa bru a pris ! Mon beau-frère qui n'est déjà pas du genre calme explose. Ma pauvre sœur ! Elle n'a jamais bien été du genre manucure. Hé bien elle aura intérêt a prendre un rendez-vous. Elle se tort les mains, se mange les ongles. Sur que si il n'y avait pas la grippe H1N1 elles ne se les laverais pas. Pendant ce temps elle ne peut pas prendre le pouls de la future, tranquille et heureuse Maman. Le téléphone est branché sur l'ADSL heureusement. Sinon gare à la facture. Mais ma nièce, oui par alliance, à trouvé le truc. Quand ma frangine appelle, le numéro s'inscrit sur son combiné. Et là, elle devient sourde. La belle-muche, il y en a marre !
Vous êtes toutes comme ça? Je me souviens du temps préhistorique où j'étais futur père, ma Mère habitai à moins de 100 mètres. Mais nous la voyions rarement, quand nous le voulions. Et elle arrivais toujours souriante, décontractée. Mon épouse me demandait comment elle faisait. Sa présence lui faisait du bien. D'ailleurs elles s'entendaient très bien toutes les deux. De ce côté là rien a dire.
Si vous avez un truc pour calmer ma sœur, vous pouvez me le passer? D'avance merci. Je souffre trop pour mon beau-frère.
samedi 19 septembre 2009
Chanson anti grippe
C'est une chanson sans calcium, chantée par un pauvre homme qui a mauvaise mine
C'est une chanson sans calcium, une chanson à la gomme qui manque de vitamine
C'est une chanson à virus, une chanson sans tonus, elle est épouvantable
C'est une chanson pas dans l'vent, qu'a besoin d'fortifiant, tellement qu'elle est minable
33,33,33,33,33,33
Les paroles sont squelettiques, la musique rachitique, pas question qu'ça balance
C'est une chanson sanguimique, complètement lymphatique, c'est presqu'une ordonnance
C'est une chanson pas dans l'coup, c'est une genre de rock mou, pas pour le hit parade
C'est une chanson anémiée pour maison de santé, une triste salade
33,33,33,33,33,33
C'est une chanson sans espoir qui raconte l'histoire d'une pauvre infirmière
Amoureuse à en crever d'un docteur diminué aux curieuses manières
C'est une chanson sans issue, qu'ira pas dans la rue car elle est désastreuse
C'est une chanson imbécile écrite par un bacille pour une intraveineuse
33,33,33,33,33,33
Le seul avantage qu'elle a cette chanson raplapla, il est sur la pochette
Vous ne risquez aucun risque si vous achetez ce disque parce qu'y a une petite vignette
Découpez la soigneusement, postez la sur le champ, faites vous porter pâle
Et vous serez croyez moi, tous remboursé par la sécurité sociale
La "Chanson sans calcium" chantée par les frères jacques.
C'est une chanson sans calcium, une chanson à la gomme qui manque de vitamine
C'est une chanson à virus, une chanson sans tonus, elle est épouvantable
C'est une chanson pas dans l'vent, qu'a besoin d'fortifiant, tellement qu'elle est minable
33,33,33,33,33,33
Les paroles sont squelettiques, la musique rachitique, pas question qu'ça balance
C'est une chanson sanguimique, complètement lymphatique, c'est presqu'une ordonnance
C'est une chanson pas dans l'coup, c'est une genre de rock mou, pas pour le hit parade
C'est une chanson anémiée pour maison de santé, une triste salade
33,33,33,33,33,33
C'est une chanson sans espoir qui raconte l'histoire d'une pauvre infirmière
Amoureuse à en crever d'un docteur diminué aux curieuses manières
C'est une chanson sans issue, qu'ira pas dans la rue car elle est désastreuse
C'est une chanson imbécile écrite par un bacille pour une intraveineuse
33,33,33,33,33,33
Le seul avantage qu'elle a cette chanson raplapla, il est sur la pochette
Vous ne risquez aucun risque si vous achetez ce disque parce qu'y a une petite vignette
Découpez la soigneusement, postez la sur le champ, faites vous porter pâle
Et vous serez croyez moi, tous remboursé par la sécurité sociale
La "Chanson sans calcium" chantée par les frères jacques.
jeudi 17 septembre 2009
mercredi 16 septembre 2009
Nostalgie quand tu nous tiens...
Vous savez que parfois il est douloureux de rencontrer un de ces bambins tant aimés ? Cet après-midi j'ai rencontré Abricot, sa maîtresse et deux gosses qu'elle gardait. Un garçon de quatre ans, moulin à paroles, déluré, souriant. Ca fait plusieurs fois que nous nous voyons. Tout de suite il est venu m'embrasser, me prendre la main. Comme d'habitude. Ce qui m'a le plus fait plaisir c'est que Lilou vienne me donner la sienne plus tard. C'est une magnifique future poupée de trois ans. Elle a un regard sans cesse interrogateur, d'un bleu a faire chavirer les coeurs les plus endurcis. Tout ça sous une toute simple chevelure blonde, mais qui lui va merveilleusement bien. J'avais la main gauche libre. Soudain j'ai senti un machin minuscule, satiné qui est venu s'y glisser sans rien demander. Quand j'ai regardé, elle marchait comme si c'était évident que j'étais d'accord, que nous étions de vieux et grands amis. Il a fallut que je prenne une sérieuse ins piration. J'étais tout chose. Je n'aime mieux pas me rappeler depuis combien de temps j'avais été ému comme ça. C'est épatant. Vivent les bouts de choux ! Dan.
mardi 15 septembre 2009
lundi 14 septembre 2009
Voyage dé-li-cieeeeeeeeeeeeeeeeuuuuuuuuuuuuuux !
Pendant ce long WE je suis allé voir ma copine. Nous avons commencé par aller à un regroupement de deux pattes à St Alban de Roche. Il n'y en avait pas un bataillon. Mais la vingtaine qui était là avait déjà bonne mine. Elles étaient toutes impeccables, rutilantes et ronronnantes comme des chats, évidement. Ca m'a rappelé ma jeunesse. Lors d'un voyage que l'on ne fais soit disant qu'une fois dans la vie, j'étais allé au lac Balaton dans une belle dodoche marron clair. Je me demande comment nous avons fais pour y aller dans une telle voiture. L'après midi après un repas tout simple offert, je suis parti pour une balade d'une heure et quart. Je ne l'ai pas vu passer. La capote avait été ouverte pour satisfaire aux exigences de deux demoiselles. Ben, je me demande comment je suis revenu sans rhume ni torticolis. Vivent les courants d'air. Ne parlons pas du bruit . Et le tableau de bord ! Warff, c'était beau la préhistoire. J'ai pris une soixantaine de photos. Quand j'aurais fais le tri j'en mettrait ici; un montage sonorisé plus tard également. Il y a tout ce qu'il faut. Y a qu'a le faire.
vendredi 11 septembre 2009
jeudi 10 septembre 2009
mercredi 9 septembre 2009
mardi 8 septembre 2009
lundi 7 septembre 2009
dimanche 6 septembre 2009
samedi 5 septembre 2009
CENT !
Mesdames, Messieurs,
Ce blog a été ouvert le cinq Aout. Nous sommes le cinq septembre. Et nous avons atteint
100
connections. Bravo et félicitations. Surtout ne perdez pas vos bonnes habitudes. Au contraire venez plus souvent. Proposez plus de choses à y mettre. Une personne fait le plus gros du "travail" Il faut nous aider.
Nos idées ne sont pas inépuisables.
D'avance merci et grosses bises. Cousin.
Ce blog a été ouvert le cinq Aout. Nous sommes le cinq septembre. Et nous avons atteint
100
connections. Bravo et félicitations. Surtout ne perdez pas vos bonnes habitudes. Au contraire venez plus souvent. Proposez plus de choses à y mettre. Une personne fait le plus gros du "travail" Il faut nous aider.
Nos idées ne sont pas inépuisables.
D'avance merci et grosses bises. Cousin.
vendredi 4 septembre 2009
C'est tristeeuuuuuuuuuuuuu !
Bouh, c'est triste
Le Parc national des Écrins, dans les Alpes du Sud, se situe à l’intérieur d’un "triangle", avec Briançon au Nord-est, Gap au Sud et Le Bourg d’Oisans au Nord-Ouest. Les sept vallées du parc sont accessibles en voiture, il est possible de s’y rendre aussi en train et en car (selon les vallées)
Évidement il fait moins chaud. Évidement il tombe de l'eau qui fait du bien aux fleurs et cultures de tous genres. Dans le fond c'est pas mal. Mais ce ciel toujours gris, ce sol toujours humide, mais c'est triste ! ! Faut remettre le pantalon, rajouter un pull, ranger les sandales... Toujours trimbaler le parapluie, parfois pour des prunes. Mais si par hasard vous le laisser dix minutes chez vous, c'est le déluge ! En automne c'est normal. Mais il y a de jolies couleurs, les appareils photos se régalent. Mais ho, nous n'y sommes pas encore ! Même Roxane marche moins vite ! Et ce matin elle a aboyé après une jolie nana qui courait le long de l'Arve. Je me suis fais fusillé du regard. Je me suis senti couillon ! Non mais, qu'est ce qui lui a pris ? Je vous jure. Je l'adore, mais alors là mon pied me démangeait sérieusement. Il était près a décoller pour son arrière-train. Il ne faudrait pas qu'elle se mette a décochoser souvent comme ça. Qu'est ce que je deviendrais ? Vous avez une solution ?
Le Parc national des Écrins, dans les Alpes du Sud, se situe à l’intérieur d’un "triangle", avec Briançon au Nord-est, Gap au Sud et Le Bourg d’Oisans au Nord-Ouest. Les sept vallées du parc sont accessibles en voiture, il est possible de s’y rendre aussi en train et en car (selon les vallées)
mercredi 2 septembre 2009
mardi 1 septembre 2009
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