Pendant mes balades, je passais souvent devant une petite usine de quatre ou cinq ouvriers. Ils étaient sympas. Nous parlions souvent alors qu'ils fumaient leurs cigarettes ou mangeaient leurs casses-croutes. Ils donnaient toujours quelques choses à Roxane.
J'écris au passé, parce que ce matin les machines étaient déménagées. La petite usine n'a pas résisté à la crise. Dommage. Les ouvriers avaient le coeur gros, leurs visages étaient graves.
Ca va être triste de passer devant les batiments vides.
hélas c'est de plus en plus souvent le cas ....pourtant du travail il y en a mais à présent le maitre mot est délocalisation ......... celestine
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